Du 8 au 10 août 2019, Montréal accueillait le party dansant le plus important au Canada, ÎLESONIQ. Le festival, en collaboration avec Bud Light, célébrait sa 6e édition sur le site nouvellement rénové de l’Espace 67 et à la Plaine des jeux du Parc Jean-Drapeau, sur la superbe île Sainte-Hélène, tout près du centre-ville de Montréal. C’était un party aux proportions épiques. Les festivités se sont poursuivies dans le cadre d’ÎLESONIQ En Ville, présenté par Bud Light, un événement dansant urbain.

ÎLESONIQ a commencé jeudi avec un atelier Bud Light animé par un vaste éventail de DJ et de productrices accomplies. Intersessions est un programme dont l’objectif est de mettre en lumière les disparités en matière de genre, de classe et de race au sein de l’industrie de la musique électronique, et Bud Light a fait équipe avec Intersessions, Women in Music Canada et ÎLESONIQ pour amener cet atelier à Montréal de façon spectaculaire.

Cette année, l’atmosphère du festival était fantastique grâce à une excellente programmation d’artistes éclectiques et électrisants, une facture visuelle trippante, un système de son à la fine pointe de la technologie, et plus encore! Le festival a attiré 78 000 amoureux de musique électronique, qui ont festoyé comme jamais auparavant!

SITE DU FESTIVAL
Le site rénové était le lieu parfait pour que les fans de musique dance s’amusent, entourés par une forêt luxuriante, par le fleuve Saint-Laurent et par des scènes vibrantes, avec une vue incroyable de l’horizon montréalais comme toile de fond. Les fans sur la Terrasse RBCxMUSIQUE îLESONIQ avaient également accès à un point de vue saisissant sur les masses de gens à partir de leur plateforme surélevée.

MOMENTS FORTS DU FESTIVAL
Le party de cette année mettait en vedette des artistes de partout à travers le monde qui sont venus ici avec une seule mission : faire bouger la foule! Il y en avait pour tous les types de spectateurs, alors que tous les genres de musique dance étaient représentés au sein d’une programmation soigneusement élaborée. Tout a commencé vendredi, avec un assaut sonore de Lick, qui a livré amplement de beats avec un mix de dubstep, de bass house, de trap hybride et d’échantillonnages de Slayer (qui a enflammé Heavy Montréal 2 semaines auparavant). Habstrakt a fait sauter toute la foule dès le tout premier drop, et a offert aux fans une toute nouvelle pièce à temps pour le retour du soleil. Izzy Vadimétait un des artistes locaux favoris, jouant des classiques mixés avec des hymnes dubstep et des riddim drops. Sam Lamar, un autre héros local, a attiré une foule très dense et vaste, et lorsqu’il a joué une version de Mercy de Kanye, c’était magique. Killy a créé un énorme mosh pit, Troyboi a introduit des rythmes trap colossaux, et Boombox Cartel a livré un mélange impeccable de dubstep, de future bass, et de trap. Kaskade a mis le feu à la scène, et Marshmello a conquis le public avec un set intense débordant de beats massifs qui ont réjoui la foule, qui en a redemandé.

Samedi était une autre journée de joie absolue, avec du funky tech house du très apprécié artiste local RelaxJosh en ouverture. Adam Husa a offert un set incluant des rythmes tribaux, des grooves copieux et des mélodies hypnotiques. Decadon a dégourdi la foule avec son mix de sonorités désinvoltes et funky/upbeat, jouant de la guitare sur des beats de future bass et entremêlant le tout avec des classiques du rock et du dubstep populaire! Ronin a connecté avec les festivaliers nstantanément, saluant sa mère au passage, tandis que les fans se déchaînaient au son de son drum & bass, qui leur a fait vivre l’extase. Dabin nous a épatés avec des synthés mélodiques et des pistes vocales émouvantes, et Arty a transmis sa bonne humeur avec des tonnes de mashups, de chansons de festival et de succès rétro comme Call On Me de Eric Prydz et One More Time de Daft Punk. Whipped Cream a conclu l’après-midi avec de la bass lourde, des percussions aiguisées et des synthés perçants, et Yotto a assemblé une foule monstre venue entendre ses synthés émotifs, ses rythmes pesants et ses lignes de basse groovy. Adventure Club a rendu la foule complètement folle, alors que Seven Lions a offert un mélange unique de trance, de dubstep et de glitch-hop. Le DJ montréalais Snailsétait complètement déchaîné sur la scène Mirage Bud Light. Pour clore la soirée, Above & Beyond est venu rendre les fans frénétiques avec sa musique trance.

Au cours des deux jours sur l’île, la scène Neon Monster Energy était toujours stimulante, avec de la bass monumentale et des sets stellaires d’artistes tels que Sullivan King, qui a joué un solo de guitare dément lors de “King is Back”, puis a détruit son instrument comme une vraie rock star. G Jones a aussi laissé une forte impression sur la scène Neon avec sa musique bass intense et ses synthés nostalgiques, en plus d’un accompagnement visuel abstrait contenant son propre langage codé.

UNE EXPÉRIENCE EXCEPTIONNELLE ET DES TONNES D’ACTIVITÉS
En plus de la musique, il y avait une série incroyable d’activités et d’activations, incluant des installations artistiques de grande envergure à travers le site du festival. Il y avait des stations de kandi pour transmettre la philosophie PLUR, ainsi que des stations de glitter et de body marbling. Des masques DEL ont illuminé les nuits alors que les festivaliers amélioraient leur style, et pour les plus aventureux, avec le Kyte Flyer près de la scène Mirage Bud Light, les fêtards pouvaient littéralement envahir le ciel!